On connaît l'ordre des Chevaliers du Temple, puis celui des Hospitaliers,
mais qui connait l'ordre du "Prieuré de Sion" ?
Cet élément est absolument
crucial, parce que, non seulement, il fait de Jésus un humain, mais
permet de saisir la tangibilité des possibilités de croissance humaine
vers le Divin.
Sion a été et est toujours dirigé par des grands maîtres dans toute l'Europe. En 1307 l'ordre du temple est anéanti par Philippe IV le Bel pour les raisons que l'on sait, mais le Prieuré de Sion reste intact, même de nos jours il reste actif. Son but est de restaurer la dynastie mérovingienne en Europe. Il est vrai certes que la royauté française a des liens avec les pays européens : Angleterre, Russie, Autriche, Espagne, etc... Pourquoi vouloir rétablir une dynastie disparue depuis 14 siècles ?
A moins qu'elle ne soit pas disparue et que dans le secret elle ait fait son chemin ? Ceci se justifie en tous points. Après la disparition de Dagobert II et de son fils Sigebert IV, la dynastie a continué à croître en ligne directe par les alliances et les mariages. En premier lieu avec Godefroi de Bouillon qui prit Jérusalem en 1099.
En dépit d'avoir
des racines beaucoup plus anciennes, l'Ordre a en fait été fondé par Godefroy
de Bouillon en 1099 et est historiquement lié à la dynastie
mérovingienne, comme cela est bien connu. L'antiquité du dépôt émerge
aussi par les éléments symboliques en corrélation ou en relation
directe avec l'Ordre, comme le titre de « Roi pêcheur » donné aux rois
mérovingiens. Un titre qui relie symboliquement à Babylone, se
référant à Nimrod, la divinité babylonienne représentée par un homme
avec la tête de poisson ou d'une coiffe en forme de poisson, un élément
qui sera ensuite également repris par le Vatican comme un couvre-chef
du Pape.
Cette liaison du Prieuré de
Sion avec la dynastie mérovingienne a encore été célébrée
officiellement en novembre 2016, grâce à la reconnaissance par la
Maison Royale Mérovingienne de Gevaudan, à travers la personne de
S.A.R.S. Dominus Esteve IV Rubén Albert I de Gevaudan, le dernier
héritier de Gevaudan, Maison Royale de la lignée
mérovingienne, descendant précisément par les Comtes d'Autun, qui a
donné la lumière aux Comtes de Toulouse par Ermengarde.
À ce jour, le Prieuré de Sion
est l'un des très rares Ordres de chevalerie dans le monde ayant le
privilège et le prestige d'être reconnu par une Maison Royale.
Précisons sans équivoque que,
pour le Prieuré de Sion, il est absolument certain que la dynastie
mérovingienne reste la croyance non seulement d'une connexion de la
lignée de Jésus-Christ à la dynastie mérovingienne elle-même, mais
aussi et surtout, il est plausible qu'il y ait une lignée de Jésus à
nos jours.
Sion a été et est toujours dirigé par des grands maîtres dans toute l'Europe. En 1307 l'ordre du temple est anéanti par Philippe IV le Bel pour les raisons que l'on sait, mais le Prieuré de Sion reste intact, même de nos jours il reste actif. Son but est de restaurer la dynastie mérovingienne en Europe. Il est vrai certes que la royauté française a des liens avec les pays européens : Angleterre, Russie, Autriche, Espagne, etc... Pourquoi vouloir rétablir une dynastie disparue depuis 14 siècles ?
A moins qu'elle ne soit pas disparue et que dans le secret elle ait fait son chemin ? Ceci se justifie en tous points. Après la disparition de Dagobert II et de son fils Sigebert IV, la dynastie a continué à croître en ligne directe par les alliances et les mariages. En premier lieu avec Godefroi de Bouillon qui prit Jérusalem en 1099.
Par la suite avec des familles nobles ou royales,
anciennes ou de notre époque. De grands noms comme Saint Clair, Montesquiou,
Habsbourg Lorraine, Blanchefort, Gisors, Lusignan, Plantard, Montpezat et
Poher. Il n'y a aucun doute sur la descendance de la dynastie mérovingienne.
Nos explications seront faites comme si cet ordre existait car contrairement
aux Rose-Croix et aux Francs-Maçons, le Prieuré de Sion reste insaisissable.
La première inscription trouvée est "PS" elle se trouve sur la tombe de
Marie de Blanchefort. Il est tout de même troublant de remarquer que tout
ramène à Rennes le Château et à l'abbé Béranger Saunière.
On peut être certain que l'ordre du Prieuré de Sion a pris le relais de l'ordre du Temple, suite à sa disparition en 1307. Il faut savoir que Baudoin 1er, duc de Lorraine et conquérant de Jérusalem, accepta la couronne pour devenir le premier roi de Jérusalem, ceci, à la mort de son frère Godefroi de Bouillon.
C'est ainsi que c'est perpétué la tradition royale fondée sur le mont Sion. Sa continuation se fit par les familles Capétienne, Plantagenêt, Habsbourg. Mais pourquoi évoquer une tradition royale ? Baudoin et ses descendants ont reçu le trône par élection et non par filiation. Nous savons que c'est Godefroi de Bouillon qui créa l'ordre de Sion en 1090, et que Baudoin 1er reçut la couronne de la main du Prieuré de Sion. Cet ordre se tenait à l'abbaye de Notre Dame du Mont Sion à Jérusalem ou, sur le Mont Sion colline située au sud de Jérusalem. Mais lorsque Godefroi de Bouillon investi Jérusalem en 1099, il découvre les ruines d'une basilique datant du IVè siècle. C'est alors qu'il fit construire sur ces ruines, une abbaye, appelée "abbaye de Notre Dame du Mont Sion" ses chevaliers reçurent le nom de "Ordre de Notre Dame de Sion".
On peut être certain que l'ordre du Prieuré de Sion a pris le relais de l'ordre du Temple, suite à sa disparition en 1307. Il faut savoir que Baudoin 1er, duc de Lorraine et conquérant de Jérusalem, accepta la couronne pour devenir le premier roi de Jérusalem, ceci, à la mort de son frère Godefroi de Bouillon.
C'est ainsi que c'est perpétué la tradition royale fondée sur le mont Sion. Sa continuation se fit par les familles Capétienne, Plantagenêt, Habsbourg. Mais pourquoi évoquer une tradition royale ? Baudoin et ses descendants ont reçu le trône par élection et non par filiation. Nous savons que c'est Godefroi de Bouillon qui créa l'ordre de Sion en 1090, et que Baudoin 1er reçut la couronne de la main du Prieuré de Sion. Cet ordre se tenait à l'abbaye de Notre Dame du Mont Sion à Jérusalem ou, sur le Mont Sion colline située au sud de Jérusalem. Mais lorsque Godefroi de Bouillon investi Jérusalem en 1099, il découvre les ruines d'une basilique datant du IVè siècle. C'est alors qu'il fit construire sur ces ruines, une abbaye, appelée "abbaye de Notre Dame du Mont Sion" ses chevaliers reçurent le nom de "Ordre de Notre Dame de Sion".
Explications et preuves
Deux chartes prouvent bien qu'un ordre avait existé bien
avant les chevaliers du temple. L'une datant de 1116 et signée par le prieur
Arnaldus, l'autre datant de 1125 sur laquelle on y trouve la signature du même
prieur, mais cette fois accompagnée de celle d'Hugues de Payns premier grand
maître de l'ordre du Temple. Pour expliquer ceci il faut se reporter en 1070.
C'est cette année là que des moines italiens, conduits par Ursus, arrivent sur
le domaine de Godefroi de Bouillon situé dans les Ardennes. Ils obtiennent de
suite la protection de Mathilde de Toscane duchesse de Lorraine, tante et mère
adoptive de Godefroi de Bouillon. Ils reçoivent d'elle, une terre à Orval près
de Stenay, là où Dagobert II fut assassiné. En 1108 ils disparaissent après
avoir construit une abbaye, qui en 1131 deviendra le fief de Saint Bernard. Le
passage de ces moines laissera une trace dans l'histoire, car parmi eux se
trouvait Pierre L'ermite, qui avec le pape Urbain II prêchera en 1095 la
croisade. Il faut dit-il "faire cette guerre sacrée qui rendra aux chrétiens le
tombeau de Jésus". C'est enfin l'embarquement pour la croisade, Godefroi de
Bouillon n'est pas le seul, trois autres souverains quittaient l'Europe. Ils
sont donc tous éligibles au trône de Jérusalem. Fait troublant, seul Godefroi de
Bouillon vendit ses terres et domaines avant son départ pour l'Orient. Savait-il
qu'il serait l'heureux élu ? En 1099, malgré les revendications du comte de
Toulouse, Godefroi reçut le trône de Jérusalem, mais il n'accepta que le rôle de
défenseur du Saint Sépulcre. Le titre de roi fut donné à son frère Baudoin en
1100. Il n'existe aucune trace de l'ordre de Sion entre 1118 création de l'ordre
du Temple, et 1152. On peut être tenté de croire que l'ordre soit resté en terre
sainte, dans l'abbaye de Jérusalem, car un fait étrange se produisit au retour
de la seconde croisade. Louis VII roi de France ramena dit-on quatre vingt
quinze membres. Pourquoi ? Comment pouvaient-ils aider le roi ? Sion oeuvrait-il
dans le dos de l'ordre du Temple ?
L'Ordre de nos jours
Le Prieuré de Sion est, par sa nature
spécifique, un Ordre très élitiste, mais pas dans la conception
vulgaire et grossière du terme, parce que l'exigence d'accès à cette
élite n’est pas la position sociale ou le budget, mais ce sont plutôt
les capacités réelles et les qualités de l'individu qui déterminent les
conditions requises pour accéder à l'Initiation et à nos
enseignements.
Pour ces raisons, un Ordre comme le
nôtre, qui a des ambitions et des objectifs comme ceux-ci, ne peut
jamais être non élitiste, en raison d'une exigence logique et inhérente
au facteur essentiel.
Compte tenu de la volonté d'ouverture
envers les autres et d’un désir de partager et de transmettre ces
connaissances, il a été décidé de créer plusieurs niveaux qui ne font
pas tous partie de l'Ordre initiatique, mais seulement de l'Association
en tant que structure institutionnelle.
Parmi ces niveaux, nous avons :
Le Membre sympathisant ne reçoit pas
l'Initiation, ni ne participe à nos études ou nos activités
d'initiation, mais, en appréciant nos idéaux et objectifs, coopère avec
nous dans les activités profanes.
L’Initié du 1° au 3° Degré représente
la base de l'Ordre qui est accessible à presque toute personne apte à
rencontrer nos exigences et à entrer en contact avec profit avec nos
enseignements.
Les Adeptes à partir du 4° Degré -
Seulement très peu peuvent avoir accès aux niveaux supérieurs de
l'Ordre à partir du 4° Degré. C’est le cœur des activités de l'Ordre où
sont prises les décisions.
La raison qui nous a conduits à la
réforme qui a donné naissance à cette nouvelle structure, a été de
fournir un plus immédiat et compréhensible accès à ceux qui remplissent
les conditions requises pour rejoindre le Prieuré de Sion.
Malheureusement, à ce jour, la plupart des sites qui traitent des
Ordres de Chevalerie ou rosicruciens, affichent leur contenu dans une
clé trop hermétique pour être intuitivement comprise par le profane ou
par celui qui pourrait toujours facilement être un candidat potentiel.
Le Prieuré de Sion est aujourd'hui
une structure très complexe, mais extrêmement efficace, qui compte
parmi ses devises inspirées : diligence, rigueur et méthode.
Le Prieuré de Sion, mythe ou réalité ?
Perpétuel cherchant, je continue mes investigations car il n'y a pas de fumée sans Feu.
Perpétuel cherchant, je continue mes investigations car il n'y a pas de fumée sans Feu.
Thierry Ronat