Ceux qui s'intéressent à l'histoire de l’Égypte ont-ils remarqué que les pharaons tiennent à la main un objet particulier ?
On
appelle ces objets les "baguettes d'Horus". On devrait plutôt les
nommer "cylindres", étant donné leur taille, mais le mot "baguette" fait
songer aux baguettes magiques, ce qu'elles étaient d'une certaine
manière à l'époque spiritualisante de l'ancienne Égypte.
Cette traduction vous fera
découvrir en détail ce que sont ces "baguettes" et à quoi elles
servaient, reliées aux énergies des pyramides égyptiennes, du cristal de
quartz, le tout en rapport avec les énergies du corps humain.
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Que sont les baguettes d'Horus ?
Prenez
n'importe quel livre sur la culture de l’Égypte ancienne et regardez de
près les statues des pharaons : vous verrez qu'ils serrent dans leurs
mains des objets en forme de cylindre. Leurs origines remontent loin
dans le temps. Pour les prêtres et les pharaons de l’Égypte ancienne les
baguettes d'Horus, cylindres en métal remplis de divers matériaux
particuliers étaient un outil "d'accomplissement", leur permettant de
faire évoluer étape par étape leurs capacités psychiques, énergétiques
et par conséquent physiques, dont le développement était un facteur
décisif préparatoire pour entrer en "communication avec les dieux" dans
les pyramides.
Le
pharaon Mykérinos et la reine. Cette statue montre la position
classique. Attitude bien droite, les bras tendus sur le côté, une
baguette dans chaque main et le pied gauche légèrement en avant.
Ces
cylindres qui accompagnaient les pharaons toute leur vie, étaient les
harmoniseurs des deux courants d'énergie que les anciens égyptiens
nommaient BA et KA, correspondant au ying et au yang de la tradition
orientale. Pour les égyptiens, le BA et le KA étaient deux composants de
l'entité humaine, les deux sources d'énergie vitale. Par leur correcte
interaction, les fonctions vitales de l'organisme sont préservées et la
personne vit sans problème particulier. Pour réguler l'équilibre
énergétique du corps, les anciens égyptiens utilisaient les baguettes
d'Horus – des cylindres aux contenus variés.
L'utilisation
de ces cylindres aidait en grande partie le pharaon (ou un autre
utilisateur) à parfaire son système nerveux, énergétique et (par
conséquent) immunitaire, pour améliorer sa santé et sa condition
physique, car les cylindres avaient un effet bénéfique sur ces domaines.
L'usage correct et systématique des cylindres permettait au pharaon ou
au prêtre de se préparer à "communiquer avec les dieux".
Si
certaines conditions sont observées par une pratique quotidienne, les
baguettes d'Horus peuvent non seulement corriger, mais aussi stimuler
les systèmes nerveux, énergétique et immunitaire, créant les
pré-conditions d'une amélioration. Ce qui nécessite un travail fondé sur
une compréhension précise de ce que sont les baguettes d'Horus et du
principe par lequel elles fonctionnent, une connaissance des cycles
d'activité dans le système énergétique de l'homme et plusieurs éléments
permettant une approche complexe, dont la partie essentielle est une
interaction avec les sources naturelles d'énergie, comme les arbres, les
rivières, les lacs, la mer et les montagnes.
Les
baguettes d'Horus sont aussi un moyen de prévenir et de guérir, donnant
l'occasion dans certains troubles de corriger des déviations
particulières de l'équilibre et d'améliorer notablement la santé car
elles déclenchent des processus physiologiques et énergétiques en
profondeur. Il est important de souligner que la connaissance des
anciens égyptiens se fondait non sur des doctrines mystiques,
astrologiques ou ésotériques, mais sur la stricte compréhension des
principes sur lesquelles est basé l'univers. En d'autres mots, à la base
de toute construction théorique et spirituelle des anciens initiés
égyptiens repose d'abord et avant tout sur la Connaissance et non sur la
croyance.
Cette photo provenant du Metropolitan Museum de New York montre les cylindres du pharaon Pépi II
Un but d'initiation
Il
est nécessaire de comprendre l'objectif des pharaons et prêtres de
l’Égypte ancienne. C'était de maintenir un lien de communication entre
les enseignants divins et les hommes de la terre et tenter de refréner
la course avilissante au matérialisme en guidant l'homme dans son
développement spirituel et en mettant fin au cycle de la réincarnation
et à ses malédictions.
Le
complexe des pyramides égyptiennes a été bâti pour être un centre
d'initiations où les néophytes pouvaient franchir différentes étapes
sous les auspices d'un prêtre du rituel.
Pour
être prêt à entreprendre cette tâche, il est nécessaire de maintenir
tous les aspects du corps en condition optimum, purifié de toutes les
imperfections physiques, et de développer particulièrement les capacités
psychiques. Ce qui permettait à la personne de voir plus avant, d'être
capable de saisir les opportunités pour accomplir les projets que l'âme
désirait accomplir durant une vie particulière et d'aider au
développement global de l'humanité en la guidant.
Pour
communiquer avec les enseignants divins, il était nécessaire de
comprendre les différents plans et de pouvoir se frayer un chemin à
travers ces derniers sans tomber sous l'influence des diverses entités
qui rôdent sur les niveaux du bas astral et cherchent à piéger les
personnes inexpérimentées et fragiles.
Tous
ceux qui avaient un rôle matériel dans la gouvernance du pays devaient
avant de pouvoir remplir une fonction s'en montrer dignes en passant les
stages d'initiation demandés, qui comprenaient de nombreux tests de
persévérance et de sincérité. De cette manière, les fondations des
anciens empires restaient fermement enracinées et le processus de
développement spirituel de l'homme pouvait être encouragé.
Un secret retrouvé
Les
pyramides, qui ont longtemps troublé l'imagination humaine, ont été
construites en différentes parties du globe, en formant un système qui
leur est propre, mais nous commençons notre explication en examinant
l'immense complexe des grandes pyramides de Gizeh.
En
elle-même, la pyramide, sa forme et sa configuration, est une structure
extrêmement étrange, alors que le curieux phénomène observé dans les
chambres suggère qu'une sorte de processus énergétique y prend place.
Notre tâche aujourd'hui est de tenter de comprendre les principes
derrière ces processus.
Vous
avez déjà probablement entendu parler de certains endroits dans la
pyramide où des aliments vivants se gardent pendant un temps indéfini.
Il existe aussi des chambres où des personnes, si elles y restent assez
longtemps, vivent un incroyable sentiment de malaise.
Il
y a pourtant aussi des zones qui engendrent des sensations d'un autre
ordre : positives, stimulant l'activité créatrice et facilitant
l'intuition.
Les
pyramides posent une foule d'énigmes, dont l'une est la raison de leur
construction. On nous a enseignés à les considérer comme des tombes pour
pharaons, mais jusqu'à aujourd'hui aucun réel endroit d'inhumation n'a
été découvert dans une seule pyramide. Ce n'en sont tout simplement pas.
Une question est alors soulevée : dans quel but des édifices aussi
gigantesques ont-ils été érigés, si ce n'était pas pour glorifier le
pharaon en tant que représentant de Dieu sur terre ?
Pour
répondre à cette question il nous faut commencer par examiner les
principes sous-jacents à l'idée de construction des pyramides. La clé
pour comprendre les lois qui ont sous-tendu le fondement de la
construction des pyramides est fournie par les stèles sur lesquelles,
selon la légende, les anciens égyptiens ont énoncé leurs connaissances.
Au
début du XXème siècle, l'expédition Quibbell à Saqqara a découvert la
tombe de l'architecte égyptien Hesi-Ra, de laquelle fut extraite une
série de panneaux de bois couverts d'inscriptions gravées (image de
gauche)
Les
panneaux en question se sont avérés quelque chose d'unique. On peut
retrouver dessus plusieurs niveaux d'information obligeant à admettre le
fait que les anciens égyptiens connaissaient tous le nombre d'or
longtemps avant Pythagore.
Nous savons aujourd'hui grâce à des mesures que le principe du nombre
d'or a servi à la construction de toutes les grandes pyramides.
Une
autre question se pose. Il n'est pas facile de produire une structure
du type pyramidal, il est nécessaire d'avoir la technologie de
construction appropriée en accord avec le but, d'autant plus que sa
structure géométrique incorpore les rapports irrationnels du nombre
d'or, qui sont plus délicats à manier que les nombres entiers
ordinaires. Pourquoi ?
Il faut souligner que toute la gamme musicale, les caractéristiques du son obéissent à la même loi du nombre d'or.
Le
principe du nombre d'or, d'après lequel une multitude d’éléments du
monde vivant sont construits, porte une très profonde et fondamentale
signification. Et ce n'est pas une coïncidence si on peut retrouver,
chez l'être humain en particulier, la loi du nombre d'or dans tellement
de variations différentes qu'on ne peut que s'émerveiller d'une nature
qui nous a créés de cette façon.
Cela
peut-il être de la chance ou une particularité spécifique à
l'humanité ? Non, le même principe gouverne les périodes orbitales des
planètes du système solaire, l'échelle musicale se fonde dessus, le
système des éléments chimiques, et vraiment tout ce qui est relié aux
systèmes de la nature obéit à cette loi.
On
a le sentiment que les êtres humains ont été créés pour un standard
particulier. Il serait pourtant plus correct de dire que les humains
n'auraient pu être conçus autrement pour la simple raison qu'ils sont
apparus dans un environnement qui impose ces paramètres, et les valeurs
du nombre d'or entretiennent une relation avec ce que nous appelons une
"résonance harmonique".
L'idée
actuelle d'utiliser aujourd'hui le nombre d'or en architecture, avec la
création de "complexes de structures d'énergie pyramidales", est
l'élément principal pour résoudre les problèmes de l'écologie de
l'habitat, l'écologie de l'environnement mental et pour le processus qui
arrive à une compréhension du monde. C'est la clé du problème,
reconnaissance et mise en œuvre de ce qui pourrait devenir le début de
notre ascension vers le prochain barreau de l'évolution. Pour le moment,
pourtant, nous ne ferons qu'indiquer ce qu'est la pyramide dans son
principe.
La pyramide est :
- Une puissante antenne cosmique
- Un
modèle en pierre de la structure énergétique de l'être humain et de
l'univers, utilisant le mécanisme énergétique de l'univers
- Un très puissant générateur d'énergies cosmiques fonctionnant sur divers plans
Les
structures énergétiques pyramidales, dont la disposition était décidée
en référence aux qualités énergétiques du lieu, ouvrent aux possibilités
suivantes :
- Accès
aux flux naturels d'énergie cosmique, organiser et stimuler les
processus d'évolution de la biosphère et de la conscience humaine
- Réorganisation
et correction de la structure énergétique de l'homme, rendant possible
une stimulation énergétique interne, des processus bio-physiques et
physiologiques, qui à leur tour donnent une opportunité pour découvrir
et activer les ressources internes de la psyché humaine, en augmentant
le potentiel psychique
- Influence positive sur les systèmes nerveux et immunitaire, en les améliorant
- Amélioration
de l'environnement énergético-écologique de l'humanité, augmentation et
amélioration de la condition énergétique à l'emplacement de la pyramide
et, comme conséquence de la répartition des structures pyramidales à
travers le monde, réorganisation de la structure énergétique de la
planète.
Pendant
des millénaires les grandes pyramides ont préservé le mystère de la
"chambre secrète" contenant, selon la légende, les secrets d'un genre
spécial ou une sorte de connaissance qui donnerait un pouvoir sur le
monde. Les hommes ont déjà cherché cette connaissance pendant plusieurs
siècles. Ils l'ont cherchée dans la roche sur laquelle repose le corps
de la pyramide. Ils l'ont aussi cherché sous la pyramide. Mais la
chambre n'est pas là où ils regardaient mais dans la partie supérieure
de la pyramide, à un endroit défini par le rapport 0,118/0,882. Cette
chambre contient "l'Énergie Source" dont les anciens égyptiens ont
hérité du peuple de l'Atlantide qui était arrivé en Afrique du nord
longtemps avant l'âge d'or de la civilisation égyptienne.
Cette "source" prend la forme d'un cylindre
dans lequel se trouve un cristal spécial avec une structure cristalline
proche des paramètres des cristaux de quartz. Presque tous les
phénomènes étonnants observés à l'intérieur et autour de la pyramide
sont en lien avec la présence de ce dispositif. Le sens de la créativité
et l'usage de l'Énergie Source résident dans sa capacité à affecter la
structure du temps et de l'espace dans son voisinage. La forme de la
pyramide sert à intensifier cet effet et disperse l'énergie qui en émane
dans la zone autour de la pyramide. Par ailleurs, l'Énergie Source
affecte aussi la structure psychologique et physique de l'être humain.
Dans
la pyramide de Khéops il existe une chambre, nommée à tort par la
majorité des égyptologues comme "chambre mortuaire de la Reine", dont la
situation au sommet de la pyramide est reliée à une fréquence
harmonique. Si on considère comme 1 la hauteur totale de la pyramide et abaissons 0,882, deux fois la fréquence de la note de musique LA (ou
plutôt un octave au-dessus), nous trouvons la chambre exactement à cet
endroit. Mais en se souvenant que l'oreille humaine, et en fait la
totalité de la structure de l'être humain est accordée à la fréquence de
la note LA en formant une sorte de champ à l'échelle planétaire de ce
signal majeur, il ressort que la chambre de la pyramide est placée à un
endroit en accord avec la fréquence de résonance de ce champ.
Si à partir de là, nous acceptons que la pyramide fonctionne comme un résonateur,
nous pouvons en venir à penser que le but de la pyramide serait de
jouer le rôle d'un générateur spécial. La raison pour laquelle se
produisent certaines résonances et certains phénomènes énergétiques à
divers endroits de la pyramide devient donc claire.
Pour
mieux illustrer les mécanismes à l’œuvre dans le complexe des pyramides
de Gizeh, examinons un exemple facile à comprendre. Prenons deux
guitares et accordons-les à l'unisson. Puis plaçons une des guitares
dans une pièce voisine, prenons l'autre en jouant une note – disons sur
la sixième corde, la plus épaisse. En le faisant, vous observerez que la
sixième corde de la deuxième guitare dans l'autre pièce a commencé
aussi à vibrer, produisant une note à peine audible, bien qu'elle
qu'elle n'ait pas été touchée. C'est le phénomène physique de la
résonance harmonique en action.
A suivre ...
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