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Ce blog n’est pas rosicrucien, martiniste ou maçonnique, mais s'intéresse à ces trois courants initiatiques et traditionnels.

mercredi 16 septembre 2015

Série Grandes figures du passé, Constant Chevillon.



Constant Chevillon, 1880-1944

Homme de cœur, Franc-maçon exemplaire, Martyr de la Milice Française. Nul moins que lui n’était destiné à ce parcours hors du commun, demeurant à jamais une figure incontournable, tantôt récupérée, tantôt idolâtrée, au point qu’il serait fort étonné des parrainages et successions diverses dont il fait l’objet. Ce n’était pas un occultiste, mais un grand spiritualiste, qui nous laisse le souvenir d’un homme simple mais à la pensée profonde. Son alliance avec Swinburne  Clymer, opposant farouche de Harvey Spencer Lewis (A.M.O.R.C.) et sa présidence de la F.U.D.O.F.S.I. lui vaut encore aujourd’hui une certaine mise à l’index par quelques historiens partisans. Nous passerons outre, bien entendu !

Qui est-il ?

Il naît le 26 Octobre 1880, à Annoire, village de 400 habitants dans le Jura, d’une famille paysanne, aîné de trois enfants. Ses parents, peu fortunés, eurent à cœur de lui donner une bonne éducation et une solide instruction. Il est doué d’une très grande mémoire et sa soif d’apprendre convainc le curé du village à lui enseigner le latin. Suite à ses études secondaires au Collège Monciel où il entre à 12 ans, son inclination le pousse à entrer au Petit-Séminaire, puis de poursuivre jusqu’au diaconat au Grand-Séminaire de Lons-le-Saunier. Revenu à la vie profane, il fait une carrière civile dans diverses banques, honorable mais sans éclat.

Avertissement : C'est intentionnellement que nous ne nous ferons pas écho des épisodes liés au Vintrassisme (avéré) et au Synarchisme (calomnie répandue par la Police de Vichy). Nous considérons qu'il serait mal venu de traiter de ces questions hors de leur contexte général et estimons qu'elles doivent faire l'objet d'un développement particulier,propre à leur histoire respective, ce que nous inscrivons dans nos projets.

  • 1892 : Études secondaires au Collège Monciel à Lons-le-Saunier. Compte-tenu de la distance et des moyens de transports de l’époque, nul doute qu’il y fut pensionnaire.
  • Fin de siècle, date indéterminée :
  • -   : Licence de lettres (avéré) et peut-être l’agrégation (à vérifier), Facultés de Lettres à Lyon.
  • -    : Séjour à l’Abbaye de Solesmes.
  • -    : Enseigne la philosophie religieuse dans un Collège de Jésuites.
  • -  : Employé de banque à la Société-Générale de Lyon.

  • Début de siècle, date indéterminée :
  • - : Employé de banque à la Société-Générale de Lyon.
  • - : Fait la connaissance de Gérard Encausse (Papus). Est-il alors initié dans l’Ordre Martiniste ?
  • 1906 : Mariage avec Caroline Maurice (il divorcera en 1910)  
  • - : Adhésion au groupe Athénée ( ?) dont il devient Trésorier.
  • 1911 : Crée la société littéraire l’Attique. L’historien Serge Caillet date de cette époque « son entrée dans l’occultisme » suite à sa rencontre avec l’astrologue Jean-Baptiste Roche.
  • 1913 : Employé de banque à la B.N.C.I., Banque Nationale pour le Crédit Industriel, Lyon.
  • - : date exacte non connue, entre en Franc-maçonnerie.
  • 1914 : Mobilisé,  il est deux fois blessé  (grièvement au bras gauche) sur le front de Champagne et de la Somme.
  • 1919 : le 14 décembre, initié dans l’Ordre Martiniste de Lyon, par Jean Bricaud.
  • 1920 : Entre à l’Église Gnostique Universelle.
  • 1921 : Membre du Suprême Conseil de l’Ordre Martiniste de Lyon.
  • - : Serge Caillet avance la même période pour son admission comme 85°, Patriarche-Grand-Conservateur du Souverain Sanctuaire de Memphis-Misraïm.
  • 1923 : 95° dans le Rite de Memphis-Misraïm. 
  • 1926 : Publie Orient et Occident.
  • 1927 : Nommé Inspecteur à la B.N.C.I , à Paris.
  • 1929 : A Paris, le 21 janvier, signataire des Nouvelles Constitution  et Règlement Généraux de l’Ordre Maçonnique Oriental  du Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm.
  • 1932 : Nommé Substitut-Grand-Maître de Memphis-Misraïm. Pacte de succession avec Jean Bricaud.
  • 1934 : Le 24 février, il succède à Jean Bricaud (décédé le 21 février) et devient Grand-Maître de : Ordre Martiniste, Memphis-Misraïm. Nommé Recteur de la Rose+Croix Kabbalistique et Gnostique (Frater A Vera Luce). Patriarche de l’Église Gnostique Universelle.
  • - : Eugénie Bricaud lui succède à la direction de la Société Occultiste Internationale.
  • - : Directeur des Annales Initiatiques.
  • - : 21 octobre, lors de l’Assemblée du Souverain Sanctuaire qui se tient à Bordeaux, il nomme Henri-Charles Dupont Grand-Chancelier. Il organise la dimension internationale de l’Ordre, mais rencontre l’opposition de Georges Lagrèze.
  • 1935 : le 3 novembre, régularisation par Monseigneur Giraud, Patriarche de l’Église Gallicane.
  • - : Henri-Charles Dupont cumule ses fonctions de Grand-Secrétaire-Général et de Grand-Chancelier, avec celle de Grand-Administrateur du Rite. Décision heureuse et prémonitoire pour la survie de l’Ordre à sa  tragique disparition.
  • 1936 : Consécration épiscopale (Tau Harmonius) le 5 janvier par Monseigneur Giraud.
  • - : Difficultés avec les frères Belges et Suisses
  • 1937 : Domicilié à Paris, Hôtel des Bernardins, dans la rue du même nom.
  • - :  Publie Réflexions sur le Temple Social.
  • -: le 24 décembre, au siège du C.I.O.T. (Centre International d’Occultisme Traditionnel), rue de Washington, où il donnait des conférences sous le pseudonyme de Costy, il fait la connaissance du jeune Robert Ambelain.
  • 1938 : Grand-Convent de Memphis-Misraïm du 27 au 30 août à Lyon. L’initiation aux femmes est adoptée !
  • 1939 : Nommé Fondé de Pouvoirs à la B.N.C.I à Paris. Ce poste lui impose –  ce qui le contrarie-  mais lui permet aussi,  de se déplacer dans les diverses succursales de la banque et favorise donc son action dans les diverses organisations dont il préside et assure la destinée.
  • - : Janvier, passage sous le bandeau de Robert Ambelain qui reconnaît la voix de son questionneur, Constant Chevillon (Il sera reçu apprenti le 24 mars de la même année par le Vénérable-Maître Novaleers, à la Loge La Jérusalem des Vallées Égyptiennes)
  • - : Publie Le vrai visage de la franc-maçonnerie.
  • -: 20 mars, création, avec Swinburne  Clymer, de la F.U.D.O.S.F.I. (Fédération Universelle des Ordres, Société et Fraternité des Initiés), s’opposant ainsi à la F.U.D.O.S.I. (Fédération Universelle des Ordres et Sociétés Initiatiques) créée précédemment en 1934 par Emile Dantinne, Harvey Spencer Lewis et Victor Blanchard. Mais la F.U.D.O.F.S.I. n’aura jamais l’audience et l’aura de sa rivale.
  • - : 2 septembre, dernier Convent National de Memphis-Misraïm. La guerre éclate le lendemain.
  • 1940 : 19 aout, loi d’interdiction et de dissolution des sociétés-secrètes.
  • 1941 : Septembre, première perquisition par la Milice Nationale Française. Est-ce rue des Macchabées à Lyon où il s’était réfugié chez Eugénie Bricaud ? Oui selon Serge Caillet, on peut lui faire confiance !
  • 1942 : Publie Du néant à l’être.
  • 1943 : Arrêté à Clermont-Ferrand, au  siège de la banque,  par la Police Francaise, sa valise, ses papiers et un manuscrit (Les Vitesses Cosmiques ? On ne le saura jamais) furent saisis et non rendus. Relâché le jour même.
  • 1944 : Publie Et verbum caro factum est.
  • - : 25 mars, Domicilié 22 rue des Macchabées dans un domicile annexe à celui d’Eugènie Bricaud,  il est arrêté vers 19 heures 45 par la Milice, bras armé du M.N.A.T. (Mouvement-National-Anti- Terroristes). Ce fait semble contestable, l’identification n’ayant pas été probante, des inconnus se présentant comme fonctionnaires de police mais incapables de présenter des papiers. Mais le témoignage de Madame Bricaud relève des « membres de la Police Politique de Vichy, travaillant de concert avec la Gestapo » et fait état d’un « sous-officier allemand parmi-eux » (Selon Robert Ambelain).

« Nous lui donnons pardessus et cache-col et nous l’avons embrassé toutes deux (Eugénie Bricaud et une amie). Il m’a bien regardé, tout pâle, tout triste. On le fit monter en voiture. Les deux voitures partirent tous feux éteints dans la direction de la Descente des Chouans ».


Le corps de Constant Chevillon est trouvé dans un fossé, vers 22 heures 45, à La Montée des Clochettes, commune de Saint-Fons. Appelons une dernière fois le témoignage émouvant d’Eugénie pour – mieux que nous saurions le faire –  un dernier hommage :
«  Mon malheureux ami, malgré une forte ecchymose à la joue gauche, était reconnaissable, les yeux clos. Je l’avais fait vêtir. La bière capitonnée de satin violet, un coussin sous la tête, j’examinais le pauvre supplicié avant de le voiler de lin ; je laissais ma main sur son front glacé en priant. Je mis une fleur rouge sur son cœur, et un rouleau de parchemin où j’avais relaté tout ce qui s’était passé et les titres du défunt. Ma main resta encore un peu sur ce front qui avait contenu tant de belles pensées et je donnais l’ordre de refermer sur lui, pour toujours, le cercueil ».

Constant Chevillon repose pour l’éternité aux cotés de Jean Bricaud, au cimetière de Francheville-le-Haut.


Publications posthumes :
1946 : La tradition Universelle.
1953 : Méditations initiatiques.
2000 & 2001 : Lettres à Marcelle.

Illustrations :
- Portrait provenant du site weblog-bergerseln, scannérisée en sépia et incrustation de la signature par l’auteur.
- Tombe de Jean Bricaud : Archives de Philippe Encausse

 Sources bibliographiques :
 -Caillet, Serge, La Franc-Maçonnerie égyptienne de Memphis-Misraïm, Paris, Dervy, 2003, 370 pages.
- Castelli, Joseph, La Vérité sur l’Ordre et le désordre du Rite Ancien  et Primitif de Memphis-Misraïm,    Montélimar, Éditions Maçonniques, 2004, 305 pages
- Galtier, Gérard, Maçonnerie Égyptienne, Paris, Éditions du Rocher, 1994, 473 pages
Revue l’Initiation, "Un homme pour notre temps, Constant Chevillon", pages 95-113, in numéro 2/2002.
- Site de l’Ordre de Lyon. 

jeudi 10 septembre 2015

Lettre du président Obama à l'occasion du centenaire de l'A.M.O.R.C.


 
L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, connu dans le monde sous le sigle A.M.O.R.C., est un mouvement philosophique, initiatique et traditionnel. Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de race, de nationalité, de classe sociale ou de religion. Reconnu d’utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, à l’éducation et à la paix, il a pour devise : « La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance.
C'est au dix-septième siècle que l'Ordre sortit de son anonymat, à la suite de la publication de trois Manifestes imprimés en Allemagne et en France. Il s'agit de la « Fama Fraternitatis », de la « Confessio Fraternitatis » et des « Noces chymiques de Christian Rosenkreutz », datant respectivement de 1614, 1615 et 1616. Ces trois Manifestes, mêlant des récits à la fois historiques et allégoriques, furent rédigés par un Collège de Rosicruciens éminents : « le Cercle de Tübingen », parmi lesquels se trouvait Valentin Andreae (1586-1654). Quelques années plus tard, en 1623, une affiche émanant du « Collège principal de la Rose-Croix » fut placardée dans les rues de Paris. Cette affiche marqua le début d'un nouveau cycle d'activité pour l'Ordre, qui se fit connaître alors publiquement sous le nom d' « Ordre de la Rose-Croix ». En 1915, un Manifeste fut publié aux États-Unis pour annoncer le nouveau cycle d'activité de l'Ordre, qui fut alors désigné sous l'appellation « Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix » (A.M.O.R.C.) La juridiction française de l'Ordre a repris officiellement ses activités après la deuxième guerre mondiale, le ler janvier 1949. Elle est actuellement l'une des plus importantes du monde et s'étend à tous les pays francophones. 
À l’occasion de la Convention mondiale que l’A.M.O.R.C. a tenue à San Jose, en Californie, du 29 juillet au 2 août 2015, les Rosicruciens présents ont pu découvrir un courrier que Julie Scott, Grand Maître de la juridiction américaine, a reçu de Barack Obama, Président des États-Unis, dans lequel il adresse tous ses « vœux de succès à l’Ordre pour les années à venir ».





LA MAISON BLANCHE
WASHINGTON
12 MARS 2015

« Je suis heureux de me joindre à vous pour célébrer votre 100e anniversaire.
En Amérique, l'histoire n'est pas seulement faite par les présidents et les généraux. Le changement s'effectue souvent lorsque les gens bienveillants et dévoués s'unissent pour construire un avenir meilleur.
Félicitations à l'occasion de votre anniversaire. Au moment où vous portez la réflexion sur vos années de services dédiés à votre communauté, j'espère que vous êtes fier de ce que vous avez accompli. Je vous adresse tous mes vœux de succès pour les années à venir. »

[signé]
Barak Obama

Le site de l'Ancien et Mystique Ordre de la Rose+Croix, c’est : ICI 

mardi 8 septembre 2015

J'ai lu pour vous : RÊVES ET "Dé-LIRE" INITIATIQUES, de Georges Darmon




Réflexions sur trois points a fréquemment soutenu la présentation et assuré la promotion d'écrits et/ou d'ouvrages  qui bien souvent ne bénéficient pas de l'assistance d'un réseau de distributeurs (sans contrepartie et parfois même en retour, quelque coups de bâtons) .

C'est un grand plaisir pour moi aujourd'hui de vous présenter le travail de notre ami et frère Georges Darmon,  Rêves et "Dé–lire" Initiatiques.

C'est le récit auto-biographique d'un parcours qui se veut ordinaire, par un homme qui ne l'est pas ! 

"Un Nomade de la pensée" ? Dans sa préface, Louis Boël, lui, évoque "la Folle Sagesse" faisant remarquer très justement que Georges Darmon bénéficie "d'une autre chance (un autre miracle dirions-nous) est qu'il n'ait pas été ostracisé, montré du doigt comme un vilain canard, ou même comme un  hérétique ou un fou" ! et de poursuivre en valorisant ses dons exceptionnels pour "éviter les écueils des hypothèses conspirationnistes [...] bien distinguer l'éthique, la morale et les us et coutumes, règlements sociaux [...] comprendre que le principal intérêt  de toute mancie est son effet miroir". 

Il est certain que de "vouloir chercher à comprendre" a fédéré - pour une fois - les acteurs de la science et de la religion mais Georges Darmon ne craint pas de s'y colleter : "aujourd'hui, l'homme de la rue s'aperçoit de plus en plus que le paranormal est comme le hasard, un mot inventé par les hommes, expliquant ce que justement, nous n'arrivons pas à expliquer et à comprendre".

Je suis particulièrement (personnellement)  frappé par les nombreux lieux communs avec mon propre parcours qu'il à fréquenté dans son "Tour de France nomado-professionnel". Je retrouve les mêmes passions et illusions, idéaux et déboires, mais... plus que modestement, presque piteusement, j'avoue ne pas avoir su aussi bien "mener ma barque" !

Alors... Venez découvrir ce cheminement exceptionnel, sous le regard attentif de Dante; venez sans crainte ni danger jusqu'aux "frontières d'un univers où vous pourrez vous identifier à d'autres réalités que votre ancien moi, au cours d'un changement de sphère de conscience [...]  pour que grâce à cette histoire, puisse la porte de l'amour universel  s'ouvrir et ne jamais se refermer" !



Présentation par l'auto-éditeur :

Le fait même de parler «d’éveil» laisse supposer que beaucoup d’êtres humains seraient endormis. (G. Gurdjieff).

Georges Darmon nous raconte ici une étrange histoire et mouvementée, non préméditée, de « voyages initiatiques », vécus grandeur nature.

C’est au cours d’une séance de yoga-respiration alternée, puis un lâcher prise par la relaxation, sans se douter de ce qui allait arriver, que se déclenche une montée de « la Kundalini », cette spirale d’énergie vitale qui naît au premier chakra, celui du sacrum, et que nous pouvons développer, tout au long des sept chakras, jusqu’au chakra sacré, situé à la fontanelle. Il se produisit en lui une sorte de transmutation alchimique à travers des rêves éveillés. Ceci lui fit découvrir la présence de son guide intérieur, caché au fond de tout un chacun. Autrement dit « le vrai soi » donnant tout la dimension de la petite phrase célèbre inscrite au seuil du temple de Delphes : « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux ! »

Cette expérience peut être qualifiée de transpersonnelle. Est-elle la possibilité de vivre des états de conscience dépassant le moi, l’espace, le temps, la causalité ?

Le sujet s’identifie-t-il momentanément à d’autres réalités que son ancien moi au cours d’un changement de sphère de conscience ?

Serait-ce l’histoire de visions créatrices permettant de se mettre en relation avec l’inconscient, et devant la porte d’accès à l’éveil ?

Georges Darmon nous indique que grâce à l’initiation maçonnique qu’il a vécue en 1979, il se retrouva dans un univers familier. Ceci lui permit alors de ne pas sombrer dans la folie voire, vers une issue fatale. D’où l’idée de démontrer l’importance d’une initiation, quelle qu’elle soit.
Cette aventure fut le prélude à de nombreuses découvertes qu’il a pu mettre en application. C’est après plusieurs approfondissements, de mûres réflexions et des formations scientifiques accélérées, qu’il acquiert l’intime conviction de ne pas se tromper et décide de nous faire partager ses péripéties. 


Georges Darmon sera présent au Salon de l'Invention le 12 Septembre 2015 et y dédicacera ses oeuvres

 


L'auteur :



Georges Darmon n'est pas un inconnu pour les lecteurs de Réflexions sur trois points. Nous avions eu l'occasion en septembre 2014, de vous présenter un véritable chef d’œuvre dans la ligne directe de Saint-Yves-d'Alveydre, LES 
TRACÉS DE LUMIÉRE : ICI






RÊVES ET "Dé-LIRE" INITIATIQUES, de Georges Darmon, Autoédition, 2015, 199 pages. 

En vente chez l'auteur, : www.franc-maconnerie-alchimie.com
Adresse mail : darmon.georges@orange.fr

jeudi 3 septembre 2015

L'Orient et les francs-maçons




C'est le thème de ce 42° numéro de la revue FRANC-MAÇONNERIE magazine.


Au sommaire :
  • Le mythe de l'Orient, fondamentaux, par jiho.
  • Rendez-vous à Toulouse pour le salon du livre et de la culture maçonnique, par Hélène Cuny.
  • Les francs-maçons dans la civilisation numérique, par Bernard Ollagnier.
  • Franc-Maçonnerie internationale, par Jiri Pragman.
  • Que transmettre à nos enfants ? par Jean-Moïse Braitberg.
  •  L'Orient et les francs-maçons, histoire, mythe et politique par Thierry Zarcone.
  • L'âge d'or des francs-maçons dans la Syrie ottomane, par Saïd Chaaya.
  • Tanit, une loge féminine au Liban, propos recueillis par Hélène Cuny.
  • Toute la lumière vient de l'Orient, la Haute maçonnerie Égyptienne de Cagliostro par Pierre Mollier.
  • Orient et Occident, les tourments de la raison et les lumières d'Averroès, par Henri Pena-Ruiz 
   Et les traditionnelles rubriques : Critique livres, Confidences, Découverte, Jean Acacio au pays des francs-macs, Petites annonces, Le saviez-vous .


FRANC-MAÇONNERIE magazine, abonnements, c'est: ICI

 
 

mardi 1 septembre 2015

Le numéro 255 de la revue ROSE+CROIX est paru !





A la une de ce numéro, nos placerons l'étude de Louis Caillaud, Jean-François Champollion, qui réussit en une douzaine de pages à nous présenter une biographie très complète, synthétique et fort bien illustrée.

Nos lecteurs connaissent bien cet auteur qui a récemment produit un roman, La butte de Djémé,  que nous avons eu le plaisir de  vous faire connaître : ICI

Au sommaire de ce numéro d'automne 2015 :

- A propos du pardon et du karma, par C. Bernard.
- Fraternité, par J.M. Béduin.
- Jean-François Champollion, par L. Caillaud.
- Le pain, par M. Vadier.
- S'il-te-plait, dessine-moi un mystique, par M. Auzas-mille
- Documents d'Archives de l'Amorc : de la Fama Fraternitatis à la Nouvelle Atlantide.

Abonnement à la revue Rose+Croix, c'est : ICI