r

r
Ce blog n’est pas rosicrucien, martiniste ou maçonnique, mais s'intéresse à ces trois courants initiatiques et traditionnels.

vendredi 23 mai 2014

Les mystères de la Sophia approchés par Serge Germain.







Un véritable petit chef d'oeuvre, un trésor même, injustement passé inaperçu à sa sortie. Il me plait de remonter en ligne la présentation que j'en avais fait à cette époque.

Une plume solide, sincére et une vision très éclairée sur la voie interne explorée par Louis-Claude de Saint-Martin.

Sagi Nahor a publié un nouvel ouvrage, le second de l'année 2012, avec une préface de Serge Caillet.

 Note de l'éditeur :
    Après avoir quitté l’Ordre des Chevaliers Maçons Elus Coëns de l’Univers, Louis Claude de Saint Martin (1743 – 1803) ouvrit une petite école, réunissant quelques intimes pour leur prodiguer sous la forme de conférences particulières l’enseignement, théorique et pratique sur la « grande affaire » humaine qui est la « Réintégration des êtres dans leur première propriété, vertu et puissance spirituelle divine ».Par ces ouvrages et ses leçons, il tenta d’éveiller chez tous le Désir de Dieu et de Sa Sagesse : Sophia. Pour y parvenir, Louis-Claude de Saint Martin proposa une voie directe, dépouillée de tout merveilleux et de tout fantastique, une  voie interne. Cette voie interne est dite aussi « cardiaque » depuis que Papus (1865 – 1916) créa l’Ordre Martiniste pour perpétuer cet enseignement,  ce cheminement d’esprit, dans l’Esprit.Philosophique, théosophique, mystique et initiatique, le Martinisme, aujourd’hui polymorphe continue à éveiller ce saint Désir pour en révéler la Sagesse : la Sophia du Désir.

Extrait de la préface de Serge Caillet :

    Les travaux de l’auteur publiés sous le titre Sophia du désir (Lulu, 2012) ressortissent d’un martinisme sans fard, au cœur de la Tradition.  De quoi méditer et s’instruire, à l’école des vieux maîtres que sont tout ensemble Papus, Saint-Martin et Martines, dont Sagi Nahor, leur disciple contemporain, modeste et lucide, perpétue et renouvelle aujourd’hui la parole.
    Ce livre se présente par conséquent comme un antidote des plus utiles, offert à tous les Philosophes de l’Unité, au service de l’Unique, contre l’ignorance et la captation mercantile, Internet aidant, dont d’aucuns font leur fonds de commerce ou l’exutoire de leurs fantasmes. Il sera des plus utiles aussi contre les diviseurs en tous genres, que manipule à l’envie le grand Diviseur. Il contribue ainsi, je le crois, à l’union qui anticipe et actualise dans le temps et l’espace la réintégration universelle de tout être et de toute chose dans son principe.
    Au seuil des pages de ce livre, j’ai porté témoignage, et de porter témoignage m’honore, il va de soi. Mais ce témoignage n’est pas une leçon, car la leçon m’horrifie, tant résonnent à mes oreilles ces paroles du Philosophe inconnu : « J’ai vu généralement dans le monde que c’était ceux qui ne savaient pas les vérités, qui étaient les plus empressés de les dire ». Fortes de tant d’années de silence, ces belles pages de Sagi Nahor ne sauraient assurément être touchées par la mise en garde de Saint-Martin, qui, depuis quelque trente ans, a été, avec son premier maître dont nous ne saurions le séparer, notre guide sur le chemin qui fait place à l’Esprit. Ainsi, dans l’autonomie qui sied aux vrais sociétaires indépendants, par conséquent à l’école du seul Maître, mon vieux frère Sagi Nahor, aujourd’hui, se tient droit pour parler haut, dans le silence des serviteurs inconnus.

La Sophia du Désir, de Sagi Nahor, à compte d'auteur, 2012, 240 pages, en vente : ICI

1 commentaire:

  1. Bonjour,

    Je partage en tous points l'avis donné ici...un ouvrage que je conserve jamais très loin de moi.

    RépondreSupprimer

Les commentaires offensants et dénigrants et ceux d'attaques ad nominen, non fraternels, ne seront pas publiés.