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Ce blog n’est pas rosicrucien, martiniste ou maçonnique, mais s'intéresse à ces trois courants initiatiques et traditionnels.

lundi 9 avril 2012

Un cadeau des Editions Maçonniques

Le Livre jaune numéro 1, offert par Joseph Castelli (Président du Suprême Conseil des Rites Confédérés), en primeur aux lecteurs de Reflexions sur trois points, avec l'Autorisation de l'Auteur, de l’Éditeur Editions Maçonniques et du diffuseur internet, orumm.org. (Toute reproduction intégrale, copie partielle, ou utilisation du lien internet concernant la mise en ligne de l'ouvrage LE LIVRE JAUNE°1-2011 faite sans le consentement de l’auteur et de l’éditeur, est illicite (Loi du 11 mars 1957,Article 40, 1er alinéa) et constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivant du code pénal.)




Pour le lire, il suffit de cliquer : ICI

Désolé, ce lien a été supprimé par l'éditeur !

L'appellation de livre jaune peut surprendre (surtout qu'elle a été particulièrement popularisée dans certains milieux par les ouvrages complotistes de Jan van Helsing) mais, en fait, un "livre jaune" est simplement un recueil de documents officiels, relatifs à un problème politique, économique, diplomatique ou scientifique, destiné à permettre au lecteur de juger sur pièces". Cf. Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales

Bonne lecture à tous !

Les "Livres jaune" numéro 1 & 2, c'est : ICI
Les Éditions Maçonniques, c'est : ICI


Ajout du 09.04.2012 : Consultez l'excellent critique éditée par Gadluinfo : ICI

11 commentaires:

  1. Il y avait longtemps que le gentil JIRI ne s'était pas manifesté : ce distingué personnage à repris l'info (a-t-il même reçu comme Jacques, l'autorisation Joseph Castelli?) ne pouvant s'empêcher de donner son habituel "coup de pied de l'âne" avec cette savoureuse remarque : Cette explication [la définition d’un livre jaune] a été reprise à plusieurs reprises par un blog caractérisé par son obséquiosité mais qui, par contre, n'est pas capable de mentionner sa source... Pour quelqu'un qui se protège sans cesse derrière sa carte de "journaliste" on pardonnera la répétition du mot "reprise" dans une courte phrase, qui a elle seule répond à son problème : LA SOURCE EST BIEN INDIQUÉE, soit le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales ! A trop vouloir nuire...

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  2. Je te remercie Serge, d’avoir dénoncé cette jirigolade, il y a tellement longtemps que j’ai renoncé à fréquenter son blog, trop de méchanceté !
    Dans le cas qui nous occupe, outre ce que tu as relevé, je m’inscris en faux car il suffit de se reporter à la page http://rflexionssurtroispoints.blogspot.fr/2011/03/le-rapporteur-de-la-chambre-dechos-vous.html qui concernait la présentation de cet ouvrage et où je précisais bien : « Je pense donc utile de reproduire ci-après, la remarque pertinente faite par Jiri Pragman sur son blog ».

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  3. Jo le Limougeaud7 avril 2012 à 16:32

    Mes amis ! Ne perdez pas votre temps et votre talent avec lui ! S'il fallait indiquer où est reportée une citation, quelle litanie en perspective! Par exemple (si)André Malraux à dit : "le XXI° siècle sera spirituel ou pas", n'oubliez pas de citer les 1754000 fois où cette phrase a été reprise.Pour ma part, je vous remercie, Joseph et toi Jacques !

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  4. Jiri n'est intervenu, une fois de plus, QUE POUR ATTAQUER CASTELLI à travers Jacques. Quand au terme OBSÉQUIEUX, peut-on lui reprocher de négliger le dictionnaire de langue française ?

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  5. Beau travail, "de l'ordre dans l'Ordre", Messieurs Gaudard et Harel en prennent pour leurs (faux) grades !

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  6. Je reprends : avez-vous remarqué que les articles de Pragman Jiri ont en général pas ou peu de commentaires ? Oui, sauf sur Memphis-misraïm qui a chaque fois en provoque des centaine... Et l'innocent aux mains pleines, qui a subtilement mis le feu de prétendre ingénument que ce n'est le fait que de trois ou quatre serviles...

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  7. Ho ! en grande partie de feu Lanterne, paix-à-son-âme, qui alimentait de commentaires le blog de J.P. !

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  8. Il faut passer au large et éviter ces écueils ! Jacques, garde le cap et oublie ces mini-tempêtes, j'aime ton travail et je n'ai aucun doute sur tes intentions. Merci à cet éditeur que je ne connaissais pas : j'ai fait un tour d'essai sur son site, que de merveilles, introuvables par ailleurs. Je fais faire chauffer ma carte-bleue ! Je t'embrasse fraternellement.

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  9. Bonsoir à tous les intervenants : S'il vous plait, revenons au sujet et laissons aboyer celui qui considère - si peu fraternellement - mes lecteurs comme des "neuneus". Je ne publierai aucun autre commentaire sur cet étrange bateleur.

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  10. Bernard-Henry Vermelenn8 avril 2012 à 10:12

    Plus que la forme, c'est le fond qui importe : le message !
    Ce livre contient et rappelle des vérités, c'est bien là l'essentiel. Maintenant, on peut toujours s'interroger - face à la virulence des propos provoqués - s'il est toujours opportun de jeter sur la place publique ces histoires lamentables qui remettent sous le feu de l'actualité, des individus tels qu'Harel, Gaudard de Soulages et consorts. L'effet boomerang, par la sottise et la haine de certains, est garanti ! Le rite a besoin de calme, de paix.

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  11. Xavier Cuvelier-Roy10 mai 2012 à 02:39

    Je démens de la façon la plus formelle avoir reçu en salaire de ma préface du Livre jaune N°1, le 95 ° de ce rite (ou l’avoir payé, ce qui revient au même), d’autant que je n’appartiens pas à l’O.R.U.M.M.
    Je demande donc aux faux-amis (et faux-frères) de bien vouloir cesser cette campagne de calomnies, ou de m’associer d’une manière quelconque à des manœuvres contraires à la morale ou a l’éthique d’un honnête homme « qui fuit le vice et pratique la vertu ».
    La confusion s’est installée très simplement, suite à une erreur de mise-en-page en m’attribuant des grades qui reviennent (enfin, je le suppose) aux deux autres préfaciers.
    J’ai demandé (et obtenu) que les grades qui m’ont étés octroyés à tort sur la dite préface ne soient pas repris, bien évidemment, dès la prochaine impression.
    Cette dédicace que je ne renie pas et ne regrette pas était (et reste) motivée par un sentiment d’injustice vis-à-vis d’un ami de plus de vingt-ans.

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