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Ce blog n’est pas rosicrucien, martiniste ou maçonnique, mais s'intéresse à ces trois courants initiatiques et traditionnels.

mercredi 22 septembre 2010

Une étoile va disparaître le samedi 25 septembre 2010



Ce bandeau, familier pour tous les chercheurs et cherchants, est d'ores et déjà devenu un collector ! Il a disparu de la toile depuis quelques semaines, précédant la fermeture des portes de la célèbre libraire de la rue de Cassis à Marseille !
Dans ces colonnes, j'avais averti des dangers qui menaçaient les libraires "traditionnels" et lancé, déjà, un appel sur les difficultés que rencontrait récemment la Libraire du Grand-Chêne (voir La Chambre d'Echos du 25.07.2010).


Las, Laurence Gilli et Philippe Subrini qui depuis 1983 animaient l'Étoile du Mage, et ses "produits-dérivés" - si j'ose dire - ont du se résoudre à "tourner une page, mais le livre n'est pas fini..." 







Restez fidèle à leur Lettre du Libraire, d'autres nouvelles plus réjouissantes vous parviendront.


Remercions-les encore une derniere fois, leur souhaitant une brise meilleure pour arriver à bon port, de même à tous les vrais libraires sans qui notre voûte serait beaucoup moins étoilée !


Correctif du 7.10.2010 : nouveau blog de Philippe Subrini  le Colporteur, qui annule et remplace l'ancienne adresse.


Consulter d'autres hommages sur :
http://sergecaillet.blogspot.com/
http://mennefer-glmmm.blogspot.com/

2 commentaires:

  1. Mille fois hélas. Sentons nous contrits/marris de telles fermetures. Mais combien se targuent ici et ailleurs et prétendent offrir de liens en liens, tout à € zéro. Combien, parmi nous se sont privés pour aller, feuilleter, puis acheter le LIVRE qui leur fut suggéré et dont ils savaient qu'il allait ouvrir une nouvelle porte à leur progrès.
    Merveilleuse chose n'est-ce pas que tout pour tous et tous pour le n'importe quoi ! Qui comprend quoi, lorsque tout est livré en pâture, telle une nourriture surabondante indigeste ?
    Où donc est la mesure ? Pouvons-nous lire, appréhender, prendre pour comprendre, digérer et s'imprégner - sans le parfum des encres, sans le plaisir d'ouvrir, de retourner, d'éventailler un volume. .
    Qu'allons-nous tenir, dans nos mains, dans le futur ? Qu'allons-nous sentir ? Et l'on va nous reprocher d'être chez soi et de n'avoir plus aucun courage.
    Ici, ne sommes-nous pas en train de tuer la rechercher de l'essentiel - en prétendant le contraire ?
    Il faut bien que nos 5 sens se souviennent pour se dépasser enfin.
    A quoi bon se lamenter encore, alors que nous sommes dans ce domaine "suivistes", quoiqu'il en soit !

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  2. Je vous remercie, Cyclopea, d'avoir adressé votre commentaire. Restons optimistes, souvenons-nous que l'utopie est le creuset de toutes les espérances. A bientôt !

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