Dans mes chroniques, je m’aventure difficilement au-delà du
REAA, et parce qu’il m’est difficile de parler (ce serait indécent) de ce que
je connais peu et mal, j’ai rarement abordé ici le rite du RER, et encore moins
l’Ordre des Chevaliers Bienfaisants de la Cité-Sainte.
Cela ne m’empêche pas – pour ma culture personnelle – de m’y
intéresser, ne serait-ce qu’historiquement et parce que la majorité de mes amis
s’en réclame.
C’est dans ce cheminement que je reviens sur un article paru
dans le dernier numéro de L’INITIATION, 3/2012, dont j’ai très récemment fait
la recension dans La Chambre des Echos.
De pseudos-chevaleries maçonniques ? Tel est le titre
de l’excellent article de Jean-Albert Clergue qui nous abonde d’un panorama
très instructif et fort révélateur.
Des citations de Pierre Mollier, de Roger Dachez, des
historiens autorisés donc, mais aussi de longs développements de l’auteur sur
la chevalerie maçonnique :
On démarre, c’est logique, avec Le syndrome de la Croisade , de sa geste
chevaleresque et de son influence, des trois discours du chevalier de Ramsay et
de leur réelle influence, avec cette interrogation : Une chevalerie maçonnique
fondée sur des fatras ? Quelle part entre une Chevalerie romantique et
romanesque, jusqu’aux néo-chevaleries excessives du 20° siècle. Enfin, et La Chevalerie du Régime Ecossais Rectifié, dans
le détail l’Origine du R.E.R., la Fondation des C.B.C.S.
et de poursuivre par les Altérations et déviations. Enfin, La chevalerie
maçonnique, un monopole chrétien ? termine cette étude d’un grand intérêt,
tout au moins pour un néophyte (mais je ne suis pas un cas isolé) comme moi.
Précisons que cet article fait partie d’un corpus dont les
numéros précédents de l’Initiation se sont fait le support et qu’une suite sera
publiée dans le prochain numéro.
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