vendredi 30 août 2013

Toujours d'actualité : Le petit dictionnaire de la F.:M.: de Guy Chassagnard




La franc-maçonnerie, société d'hommes libres et de bonnes mœurs qui, sans elle, ne se seraient jamais rencontrés, possède ses mots et son propre langage.

De " A ", comme " A bas la calotte ", jusqu'à " Z ", comme " Zorobabel ", l'auteur, Guy Chassagnard, a cherché à recenser toute la terminologie maçonnique ; pour la comprendre d'abord et en donner ensuite, une définition aussi simple et précise que possible, accessible à tout initié, mais aussi compréhensible à tout profane. Son Petit Dictionnaire de la Franc Maçonnerie - petit par rapport à d'autres dictionnaires, qui se veulent à la fois savant et académiques - ne contient pas moins de 5000 entrées portant sur l'histoire, les activités et les motivations d'une société ésotérique trop souvent méconnue, même de ses propres adeptes. Par sa quête et sa présentation du mot, de l'appellation et de l'expression, l'auteur est parvenu à rassembler et à unir l'une à l'autre, dans un langage familier, les multiples facettes de la franc-maçonnerie, pour une découverte simplifiée, mais néanmoins complète de celle-ci. Qu'est-ce qu'un Elémosinaire ? Qu'entend-on par Cène maçonnique ? Que représente une Jarretière ? Que signifie habiller une loge ? Telles sont quelques-unes des questions qui trouvent ici une réponse appropriée, concise, honnête et vérifiée.

Visitez l'excellent site de Guy Chassagnard et prenez connaissance de ses nombreuses publications, c'est : ICI

jeudi 29 août 2013

Le dossier de presse de l'AMORC

L'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix publie un dossier de presse récemment mis à jour, complet si faire se peut, très agréable à consulter.





"Tous les documents dans les pages affichées au menu de ce dossier de presse sont des reproductions des documents originaux, que ce soit copie de presse, copie de lettres ou de livres, mis en page en format adapté pour lecture sur internet avec les fureteurs courants sur le marché. Les originaux de ces documents sont conservés au siège de la Grande Loge des pays de langue française de l'A.M.O.R.C., et il est possible de les consulter sur place"

A découvrir et feuilleter : ICI


samedi 17 août 2013

Colloque Marseille Maçonnique, organisé par l'IMF-Provence






Pour vous y rendre, ce plan me semble plus... efficace !   : ICI  

mardi 13 août 2013

L’IMF-Provence communique :




"Il y a dix ans, toutes les obédiences de la franc-maçonnerie française fêtaient ensemble le 275ième anniversaire de la franc-maçonnerie en France dans l'unité et dans la reconnaissance tolérante et fraternelle de leurs différences. A ce titre, elles furent reçues par les plus hautes instances de la République française, qui reconnaissaient, par ce geste, l'apport important de la franc-maçonnerie dans la construction des fondements de notre société, garants d'un «mieux-vivre ensemble» . Dix ans plus tard, il semblerait que le climat ait changé...

Michel Barat, ancien grand-maître de la GLDF, Alain Bauer, ancien Grand-Maître du GODF, Roger Dachez, ancien Président du Conseil de la Loge Nationale française, prennent à titre personnel et pour la première fois ensemble, la parole pour dénoncer ce qu'ils appellent les trois crises de la franc-maçonnerie :
- La crise de la pseudo-régularité
- La crise du système obédientiel
- La crise des contenus.
Faisant cela, ils lancent un appel solennel aux Sœurs et aux frères, par-delà les dirigeants des obédiences, à un «retour à la raison» et à ce qu'ils nomment une «insurrection initiatique», pour que les obédiences cessent les anathèmes, les excommunications, les interdictions ... Appel qui n'est pas sans rappeler les « sages » propos d'un Jean Mourgues , du GODF, et d'un Tort-Noguès de la GLDF, en leur temps. 


Mais surtout, les auteurs, après avoir fait un point précis et documenté sur le problème de la «pseudo-régularité» plaident pour un retour à une franc-maçonnerie française qui, prenant acte de sa riche histoire ayant abouti au paysage maçonnique tel qu'on le connait, serait capable de respecter «l'équilibre naturel et pacifique entre initiation intime et engagement éthique et citoyen» tout en évoquant les pistes permettant ce retour à une authentique fraternité.

Le «peuple franc-maçon», loin des logiques d'appareil, les pratiquants déjà dans les loges, espérons que cet appel sera entendu.
Et c'est ainsi qu'Hiram sera grand..."

Les promesses de l'aube, par Michel Barat, Alain Bauer, Roger Dachez, Editions Dervy

A paraître le 6 septembre 2013

dimanche 11 août 2013

Aimée Ingeveld est passée ce matin, 11 août 2013, à l’Orient Éternel.





Pionnière dès 1976, aux cotés d’Emile Delplanque, de la G.L.I.O.O.O, Grande Loge Œcuménique d’Orient et d’Occident, d’où est issue la G.L.O.F., Grande Loge Oeucuménique Féminine, dont elle deviendra en 1980, le premier Grand-Maître.

                                                       


Souverain Grand-Inspecteur, 33ème Degré de l’Ordre des Veilleurs du Temple, Zenith de Lille.

Fondatrice de la Grande Loge Symbolique du Rite Écossais Primitif, la GLSREP.

Elle était, jusqu’à sa disparition, Vénérable-Maître de sa Loge à l’Orient de Malinnes.

Engagée depuis une dizaine d’années dans un combat sans merci contre la pédophilie, elle eut à souffrir d’attaques ignobles, qui très rapidement ont altéré sa santé sans atteindre sa farouche volonté.

Gémissons, gémissons, gémissons ! 

Un dernier hommage lui sera rendu au crématorium d'Uccle (rue du Silence) le mardi 20 août à 13h30

samedi 10 août 2013

Un nouveau venu sur la toile : Theosophia

L’association Theosophia est une Organisation portant le qualificatif de
« Traditionnelle ». Elle s’inspire directement du Martinisme dont elle est un rameau et des diverses traditions héritières de la Tradition Une et Universelle.





Le Martinisme est dans son essence une philosophie Judéo-Chrétienne.
Toutefois, le mot « chrétien » n’est pas à prendre dans le sens commun : adepte de la religion, mais il est à considérer comme se rapportant aux pratiques et enseignements des premiers disciples du Christianisme qui, de nos jours, ont pratiquement disparu, les différents conciles les ayant supprimés pour les remplacer par des enseignements dogmatiques, qui sont souvent à l’opposé de ceux mêmes qui furent transmis directement par les Disciples du Christ.

Sans dogme, ni contraintes de quelque nature que ce soit, L’association Theosophia propose aux hommes et aux femmes de toutes races et de toutes religions qui cherchent à s’améliorer, une philosophie basée sur la Connaissance traditionnelle transmise depuis des siècles par des « Hommes de Bonne Volonté », appelés souvent « Sages » ou « Initiés ». Ses conceptions de la vie et son sens profond de la Liberté visent à instaurer la Fraternité Universelle par l’épanouissement de la personnalité et la compréhension profonde de la condition humaine. C’est ici et maintenant que l’Homme doit réaliser que « le Royaume des Cieux » est en lui et que la qualité de sa vie dépend de ses actes et de la qualité de ses pensées.

Dans une société en mutation, l’association Theosophia s’efforce, avec d’autres Organisations ayant le même but, de redonner aux valeurs essentielles de la vie, leur vraie place, tout en respectant les lois du pays dans lequel il lui est permis de s’exprimer. C’est pourquoi, et bien que laissant à ses Membres une entière Liberté de choix et d’expression, l’association Theosophia, en tant qu’Organisation, s’interdit toutes activités de nature politique ou syndicale.


Lire la suite : ICI

Prendre connaissance, en particulier, de l'hommage rendu à Pierre Crimetz : ICI



Pierre Crimetz et Raymond Bernard, collection personnelle.



jeudi 8 août 2013

Les rois Stuart et la franc-maçonnerie




La franc-maçonnerie moderne prend son essor au cours du dix-septième siècle, quand des Stuart exercent le pouvoir dans les trois royaumes de la Grande-Bretagne. Après 1689, elle se transforme sous l’effet d’une révolution qui les force à l’exil. Alors, deux tendances sont en rivalité plus ou moins vive. D’un côté sont donc les loges des précurseurs stuartistes ; d’un autre côté sont celles de leurs vainqueurs politiques, appelés hanovriens à partir de 1714.
En appui sur des archives de l’époque, longtemps ignorées ou méconnues, cet ouvrage retrace les différentes étapes d’un parcours qui commence sous le règne de Jacques Ier (1603-1625) et s’achève avec la mort de Charles-Edouard (1788). En théorie, la politique est supposée absente des engagements maçonniques individuels ; en pratique, elle en détermine beaucoup. On le vérifie quand la plupart des rituels élaborés au fil des décennies empruntent à l’Ancien Testament des scènes d’exode, d’errance et de reconquête, pour les comparer précisément aux infortunes que subissent les Stuart et leurs partisans.

Les rois Stuart et la franc-maçonnerie, d’André Kervella, Editions Ivoire Clair, 314 pages

Edition Ivoire Clair, c'est : ICI